Et cette situation inquiète plus que jamais un milieu agricole directement concerné, celui de l’élevage, destinataire d’une part des prélèvements sur les paris.
Jusqu'en 1954, les paris joués sont des paris relativement simples, qui consistent à trouver, soit le premier, soit les deux premiers chevaux d'une course.
Lorsque les paris perdants s'accumulent, « le coach devient injoignable ou apporte pour seule explication qu’un mauvais trade est à l’origine des pertes ».