Elle se transmet par inhalation du virus, qui provoque l'apparition d'une « membrane diphtérique » au niveau de la bouche, du pharynx, du larynx et parfois de la trachée.
Le personnel de la santé publique a permis aux membres du public de recevoir gratuitement le vaccin diphtérique, tétanique et poliomyélitique ainsi que des publications éducatives favorisant la vaccination.
En 1896, l'antitoxine diphtérique est saluée comme «l'avancée la plus importante du [19e] siècle dans le traitement médical des maladies infectieuses aiguës».
La détermination du titre en anticorps antitoxine diphtérique peut permettre de déterminer, en fonction du statut vaccinal, si la bactérie isolée exprimait la toxine.