Trois ans plus tard, le chiffre d'affaires a été divisé par deux et dépasse à peine les 21 millions d'euros, et l'endettement est devenu insurmontable.
L'ancrage des « frondeurs » chez les coopérateurs agricuteurs, inquiets notamment de l'endettement du groupe dû à son internationalisation, explique cette prise du pouvoir.