Une autre version la considère comme le résultat d'une puissante éjection de certains gaz (volcaniques ou même radiogéniques), qui ont éliminé le régolithe.
Le méthane étant un gaz à effet de serre, son relargage accéléré entraîne une rétroaction positive sur le réchauffement climatique, c'est-à-dire une accélération de celui-ci.