Il analyse et dénonce un calendrier électoral qu’il considère comme étant une manœuvre destinée à banaliser l’illégitimité des élus à tous les niveaux : local, provincial, national et présidentiel.
En descendant dans les rues habillées de manière provocante, ces femmes jouent sur ce stéréotype tout en voulant démontrer son absurdité et son illégitimité.