Les niveaux d'hormones (testostérone, androstènedione, dihydrotestostérone) ne semblent pas jouer un rôle dans cette masculinisation transitoire, ces niveaux étant identiques chez les juvéniles masculinisés et les adultes non masculinisés.
Les résultats montrent des inégalités de genre d’une part entre les domaines féminisés et masculinisés, et d’autre part à l’intérieur de chaque domaine.
Kuyper laisse une marge d'exception pour les cas où la nature elle-même a posé des frontières « floues et peu claires », là où « la femme s'est masculinisée et l'homme s'est féminisé ».
Bien que les mathématiques, comme de nombreuses autres disciplines scientifiques, soient fortement masculinisées, de nombreuses femmes ont marqué cette science.
Inversement pour les métiers très masculinisés on retrouve que très peu de femmes, notamment dans les métiers manuels comme les chantiers, avec les plombiers, les chefs de travaux.