Toutes les ressources de la langue paraissent mobilisées pour animer cette fresque pantelante, pour dire les profondeurs de la chair, ses métamorphoses, ses extases, ses blessures.
Puis, continuant l'œuvre de destruction, elle donna l'assaut à la carcasse pantelante, brisant encore, brisant toujours, dévorant et engloutissant pour vomir ensuite aux écueils voisins des tombereaux d'épaves informes.