Autour du poteau, on empile des pierres, de préférence blanches, en un tas palissadé dans lequel on fiche des épieux, de longues flèches et des branches de cyprès.
Le pourcentage élevé d’éléphants jeunes, plus vulnérables, et la présence de fragments de bois évoquant des épieux ont longtemps été considérés comme des indices de chasse organisée.
Ces épieux portaient sur le corps à l'oblique avec un angle de 20° et traversaient jusqu'au sol, deux sur le côté droit et un sur le côté gauche du tronc.