Malgré un climat rigoureux, l'archipel abritait une riche faune, abondamment chassée « jusqu'au milieu des années cinquante », notamment d'oiseaux et en particulier d'oies.
Contrairement au baihua, ces formes écrites n'ont pas été formalisées et codifiées, et sont utilisées abondamment dans les annonces commerciales et les communications officielles.