Il doit imaginer des structures capables de satisfaire l’afflux touristique tout en respectant la qualité de vie des autochtones et en préservant l’environnement.
En 1945, commença l'afflux des réfugiés de l'est, qu'on estime à 300 familles, après les 324 familles qui avaient déjà été abritées suite aux bombardements.