Les populations pauvres, appelées mostazafin (en persan : ﻣﺴﺘﻀﻌﻔﻴﻦ, « déshérités »), habitent en majorité dans le sud de la ville, souvent dans des bidonvilles.
Un étudiant emménage dans un logement collectif aux allures de bidonville, tenu par une propriétaire sans scrupules et où vivote déjà une population misérable.