De nombreuses méthodes ont été développées et améliorées en immunochimie et sont maintenant utilisées dans d'autres disciplines comme la virologie ou la biologie moléculaire.
Ils sont étudiés en biologie animale car leur absence de pigmentation permet d'observer par transparence tous les organes internes sans avoir à les disséquer.
Seuls 34 fossiles sont actuellement connus et restent rares car leur exosquelette peu minéralisé et leur biologie sont peu favorables à leur fossilisation.
Les mesures de la biodiversité prennent désormais en compte des aspects phylogénétiques ou fonctionnels, qui se révèlent pertinents en biologie de la conservation notamment.