L’ensemble immobilier est ainsi placé dans un décor champêtre bigarré et entrelacé, en raison de la recherche du meilleur terroir pour chaque espèce cultivée.
Dans les années 1920-1930, il est recensé deux aubergistes, un bouilleur d'eaux-de-vie, un receveur-buraliste-tabac, un tonnelier, un maçon, un voiturier-messager et un garde champêtre.
Pavée, la voie est piétonne et les jardinets des différents pavillons sont abondamment arborés, donnant à cette voie une ambiance champêtre particulière.