Bien que le simple fait de la part d'un journaliste d'avoir écrit une contrevérité ait été retenu comme diffamatoire, la loi de 1881 ne retient aucun critère à cet égard.
Il ne faut pas le confondre avec la contrevérité, qui désigne simplement une affirmation inexacte, sans préjuger du fait que son auteur le sache ou non.
Les intellectuels faussaires sont des personnalités qui assènent sans scrupules des contrevérités (fake news) pour défendre une cause et qui restent quasi intouchables.
Elle recouvre aussi par extension un langage verbeux et peu compréhensible qui couvre des banalités, des incohérences ou contrevérités, ou un manque d'argumentation claire.
Pour éviter le développement des contrevérités, l'éducation aux médias ne doit donc pas seulement concerner les jeunes générations mais l'ensemble de la population.
Ces faux documents, présentés par leurs instigateurs comme authentiques, ont pour but de désinformer leur cible en s'appuyant sur des éléments fictifs ou sur des contrevérités.