Un certificat médical conservé stipule que le jeune ingénieur est sujet à une « fièvre maligne dont les suites occasionnent une débilité générale de toutes les fonctions et une maigreur considérable ».
Parmi les recommandations qu'il adresse à ses fidèles, on peut citer des « préparations de l'utérus », des « traitements pour la débilité mentale » et des variantes de la pratique de détoxification.
Lors de son service militaire, il fut décrit comme "un solitaire, un être renfermé, querelleur, méchant, violent, impulsif" avant d’être réformé pour "débilité mentale profonde".
On utilisait les termes d'idiotie (qui désignait l'autisme avant l'invention de ce dernier terme), d'imbécillité, et de débilité, pour classer les différentes formes de retard mental.
Cette notion inclut celles de « psychose à expression déficitaire » et de « débilité évolutive », mais exclut les autres psychoses de l'enfant et les déficiences dysharmoniques.
Les élèves atteints de débilité légère, ne pouvant suivre un enseignement dit normal et donc en échec scolaire, étaient considérés comme imparfaits, mais perfectibles, contrairement aux idiots et aux imbéciles.