Les hormones, notamment l’œstrogène, pourraient jouer un rôle important car les anomalies cognitives rencontrées sont proches de celles retrouvées lors de la ménopause.
Une durée de vie longue après la ménopause pourrait être un avantage sélectif acquis au cours de l'hominisation (c'est l' « hypothèse de la grand-mère »).