Les particules de calage en mousse biodégradables ne contiennent aucune charge électrostatique, ce qui constitue un autre avantage par rapport au polystyrène.
Ils ont montré l'existence du rayonnement de transition quand une particule chargée traverse perpendiculairement une frontière entre deux différents milieux homogènes.
La perte d'énergie par centimètre (et, par conséquent, la densité d'ionisation) dépend elle aussi du type, de l'énergie de la particule et du matériau rencontré.
L'automobiliste subit alors une perte de puissance, des défauts d'accélération, et une forte production de fumées noires ou un colmatage accéléré du filtre à particules.